Nouvelles
Erotiques - III - AURELIE ou Perversion cachée
par Emmanuel
Thiery
Cette
petite histoire se déroule en province, plus précisément en Savoie, dans
un petit village.
Dans ce village montagnard, la plupart des habitants sont très riches
et parfois, certaines personnes ne savent plus quoi faire de leur argent.
En effet, grace à la neige, que l'on appelle ici l'or blanc, les pauvres
savoyards du début du siècle sont devenus l'inverse de ce qu'ils étaient.
Les premières remontées mécaniques, le flux massif de touristes aisés
venant faire du ski et découvrir les joies de la montagne ont enrichi
peu à peu les paysans.
De nos jours, les Savoyards des stations de ski sont très riches, leurs
terrains jadis utilisés pour les cultures et la nourriture des bovins,
sont maintenant devenus d'une très grande rentabilité grâce au tourisme
hivernal.
Les touristes dépensent des fortunes pour venir faire du ski et enrichissent
les habitants du village. Malheureusement, tout les Savoyards ne sont
pas logés a la même enseigne; ceux de la plaine n'ont pas eu la chance
de profiter de ce que peut apporter l'or blanc.
S'agit-il d'un juste retour des choses, si l'on pense au type de vie que
pouvait avoir les ancêtres de tout ces gens? C'est possible, mais la n'est
pas mon propos.
.
S'ils ne sont pas propriétaires de terrains, ou de chalets et d'appartements
de location, ils sont commerçants ou artisants, ce que l'on peut dire
,c'est que la neige rapporte a tout le monde et que si elle venait a disparaitre,
la Savoie serait une zone sinistrée, sachant qu'elle ne vit pratiquement
qu'exclusivement du tourisme essentiellement hivernal. Toujours est il
que certaines de ces personnes brassent des millions de francs et que
parfois, cet argent leur monte a la tête.
Certains vont investir, acheter des batiments, des terrains, des hotels,
des restaurants et ainsi, vivrent de leurs rentes. D'autres, au contraire,
vont dilapider cet argent et profiter de tout les plaisirs terrestres:
voitures de sport ou de prestige, voyages, sorties diverses, grands hôtels
et grands restaurants, casino et bien d'autres choses encore.
Jacques est de ceux la, et il profite pleinement de cet argent en
se composant une maison close rien que pour lui et quelques uns de ses
amis. Il possède de nombreux chalets qu'il loue aux touristes, et un immense
hôtel quatre étoiles luxe ou il organise de temps en temps des soirées
pour couples échangistes.
Jacques n'arrive pas à trouver une femme qui lui correspond et quand il
trouve une femme qui lui convient, il s'en lasse très vite et part à la
recherche d'une nouvelle conquete. Pour ne plus se lasser des femmes,
il décide donc de se créer une maison close, ou plutôt une sorte de harem
dans lequel il installe une quinzaine de femmes qu'il paye grassement
et qui vivent dans le luxe. La seule obligation de ces femmes est d'être
soumises à ses désirs et d'assouvir tout ses fantasmes sexuels à n'importe
quel moment de la journée. Ces femmes ne sont pas de simples putes, il
s'agit de femmes intelligentes, rafinéees, très jolies et très sexy. Jacques
les a rencontrées lors de voyages à l'étranger et aussi parmis les multitudes
de touristes qui séjournent dans ses chalets et hôtels.
Malgré l'incroyable beauté de toute ces filles, Jacques n'est toujours
pas satisfait car il sait que ces femmes sont là pour l'argent et le confort,
Jacques voudrait trouver une femme aussi perverse et soumise que
ses putes de l'hôtel mais qui en plus l'aimerait et assouvirait tout ses
fantasmes par amour et uniquement par amour. Jacques rêve d'une fille
qui lui dirait:"tu veux que je te suce mon cheri, j'en ai très envie,
j'adore ta queue et j'aime te donner du plaisir juste parce que je t'aime."
Ha ! Ce qu'il aimerait la rencontrer cette fille mais existe-t-elle?
Oui, cette femme existe, elle se nomme Aurelie. Jacques l'a rencontrée
l'hiver dernier sur les pistes de ski, en janvier. Dès qu'il l'a vue,
il en est tombé amoureux, Aurelie avait quelque chose en plus des autres
filles et Jacques était d'une grande euphorie à l'idée de la posséder.
Quelle immense joie pour Jacques d'avoir rencontré Aurelie. Elle est douce,
tendre, sensuelle, admirablement bien faite et intelligente de surcroît.
Aurèlie est blonde aux cheveux très longs, fins et soyeux, sa longues
chevelure lui décent jusqu'au bas des reins. Elle est assez grande, environ
un mètre soixante quinze, sa poitrine est belle et ferme, ses seins pointent
vers le ciel, son ventre est plat, son nombril bien dessiné, ses fesses
sont hautes et musclées, ses cuisses fermes et rondes, juste ce qu'il
faut.
Quand Aurèlie se cambre, faisant ressortir sa croupe, elle semble nous
inviter aux plaisirs de la chair, ses hanches, ses seins bien en avant,
son regard troublant et ses longs cheveux nous donnent une envie irrésistible
de goûter aux plaisirs de son corps.
Jacques n'appréciait plus son harem, il payait les filles à ne rien faire.
Ce n'était pas un problème compte tenu de son immense fortune.
Jacques ne vivait plus que pour la belle Aurelie, il ne la connaissait
que depuis quelques semaines et envisageait déjà de l'épouser. Il faut
dire qu'Aurèlie était une reine sur le plan sexuel, elle valait mieux
que les quinze putes de Jacques réunies.
Aurèlie suçait, léchait, branlait mieux qu'aucune autre fille, on aurait
cru qu'elle était faite pour l'amour et qu'elle ne savait faire que ça.
Un soir, alors que Jacques réglait quelques affaires de location d'appartements
pour l'hiver prochain, Aurelie l'appela sur son portable et lui dit de
rentrer immediatement, elle avait envie de faire l'amour tout suite.
Jacques ne pu se retenir et parti dès la fin de la communication.
Quelle ne fut pas sa surprise en arrivant à l'hôtel! Aurèlie l'attendait
accompagnée des quinze autres filles, elles étaient, toutes nues et très
aguichantes, Jacques ne comprenait pas, il souhaitait simplement retrouver
Aurèlie pour lui faire l'amour avec passion mais Aurèlie avait concocté
un autre programme.
Toutes les filles ,sous la direction d'Aurelie, s'emparerent de Jacques
et l'attacherent. Chaque fille avait un rôle bien défini et il ne s'agissait
pas de faire du mal à jacques mais simplement de lui montrer que chacune
de ses filles était capable de lui donner autant de plaisir que pouvait
lui en donner Aurèlie.
Aurèlie voulait faire comprendre à Jacques qu'elle n'était pas la seule
à pouvoir s'occuper de lui.
Jacques était attaché sur le lit et ne pouvait rien faire, il ne pouvait
que subir et apprécier ce que toutes ces femmes allaient lui faire.
Aurèlie était nue, elle aussi, elle était assise dans un grand fauteuil
en rotin et se caressait le clitoris doucement, tout en regardant Jacques
impuissant et désemparé.
Aurèlie dit à Josie, l'une des filles, les plus experte de Jacques, de
commencer à le sucer tout en douceur, la règle principale étant de ne
pas faire jouir Jacques tant que ces quinze filles n'auraient pas eu un
contact plus ou moins long avec lui.
Josie suçait Jacques langoureusement sans aucun autre contact, il n'y
avait que la bouche de Josie qui touchait le corps de Jacques. La queue
de Jacques était d'une incroyable raideur, il trouvait ce jeux amusant
et appréciait beaucoup les coups de langue de Josie. Tout à coup, Aurelie
dit à Josie d'arreter. Sophie allait la remplacer et entreprendre de donner
un autre plaisir à Jacques. Cette fois, il s'agissait d'avoir un contact
unique avec le sexe de Sophie. Sophie mit ses cuisses autour de la tête
de Jacques et lui présenta son sexe chaud et humide, Jacques devait simplement
la lécher et la faire jouir par le seul mouvement de sa langue. Sophie
prenait un immense plaisir sous les coups de langue de Jacques, le joli
petit sexe, bien rasé et bien épilé avec de belles lèvres roses et son
clitoris turgescent ne demandait qu'à être stimulé. Le sexe de Sophie
ruisselait sur le visage de Jacques qui commençait à ressentir un certain
dégout, pourtant, il devait absolument continuer à lécher Sophie car tant
qu'elle n'aurait pas joui, elle resterait sur le visage de Jacques. Enfin,
apres un long moment, Sophie eut un orgasme étonnant, elle hurlait, elle
se tortillait dans tout les sens tout en écrasant sa chatte sur la bouche
de Jacques.
Aurelie, ordonna maintenant à Tabatha de prendre le pénis de Jacques à
pleine main et de l'introduire au fond de son anus. Tabatha exécuta rapidement,
en ayant au préalable, enduit le sexe de Jacques d'un gel lubrifiant spécialement
adapté à la sodomie. Tabatha s'empala d'un coup sec sur la queue de Jacques
en laissant échapper un petit cri de douleur, Jacques au contraire eut
un énorme grognement de plaisir. Tabatha commença un long va et vient
de son anus dilaté vers la base de la queue luisante de Jacques, elle
se levait, se baissait, se levait, se baissait et Jacques n'en pouvait
plus, le plaisir était immense! Mais attention, il ne fallait pas faire
jouir Jacques, toutes les filles devaient d'abord s'occuper de lui et
Aurèlie terminerait en apothéose.
Tabatha jouit très rapidement car elle était fanatique de la sodomie et
ne jouissait que grâce à cette pratique, si agréable quand on sait l'apprécier
à sa juste valeur.
Tabatha se retira, son anus écartelé était beau, Jacques aurait aimé continuer
cette douce sodomie mais Aurèlie lui réservait déjà un autre plaisir.
Elle dit à Claudine de prendre un godemiché et de l'enduire de lubrifiant,
pendant ce temps les putes de Jacques le détachaient et l'installaient
à quatre pattes sur le lit en le rattachant soigneusement.
Claudine avait pour mission de sodomiser Jacques avec le godemiché sans
le toucher.
Jacques avait très peur, il n'avait jamais effectuer ce genre de chose
et cela ne lui disait rien du tout. Il commença à s'énerver et à supplier
Aurèlie de stopper cette mise en scene, mais pour Aurèlie il n'en était
pas question, chaque fille aurait son rôle et Claudine était obligée de
suivre les règles.
Claudine commença par introduire l'index dans l'anus de Jacques qui eut
un cri de douleur intense, Jacques criait mais il savait qu'il devait
continuer, il n'avait pas le choix. Claudine enfonça un deuxième doigt
et commença à amorcer un va et vient doux et lent, Jacques était tendu
et n'arrivait pas à se relaxer, il avait mal et commençait à invectiver
Aurelie. Rien n'y ferait, chaque fille devait y passer.
Claudine introduisit le godemiché long de vingt centimètres au moins et
large de quatre centimetres, Jacques hurla de douleur mais il commença
à ressentir un plaisir honteux, alors qu'il n'avait plus d'érection depuis
le début avec Claudine, sa queue se remit au garde à vous, Jacques avait
honte d'apprécier mais il prenait vraiment son pied, c'est lui,
maintenant, qui exerçait le va et vient sur le godemiché.
Claudine voyant que Jacques prenait autant de plaisir à se faire sodomiser
qu'une femme et le sentant proche de la jouissance, ressortit le gode
d'un seul coup!
Jacques en avait assez d'être soumis et voulait absolument qu'on le laisse
tranquille, il demanda à Aurèlie d'arrêter cette humiliation insoutenable.
En effet , Jacques était habituellement le meneur et pour une fois ,il
se retrouvait à la place des filles qu'il utilisait comme des objets.
Toujours est il que la mise en scène n'était pas finie et qu'il restait
encore onze filles à passer!
Aurèlie ne voulait pas décevoir Jacques et lui proposa une ultime épreuve;
il fallait qu'il fasse jouir les onze filles restantes sans que lui n'eut
d'orgasme. Tache difficile car toutes ces bombes sexuelles plus belles
et plus excitantes les unes que les autres n'allaient pas se laisser faire
sans elles aussi donner du plaisir à Jacques.
C'est ainsi que Claire,Laure,léa,Amelie,christine,olivia,oceane,brigitte,Nathalie,Jennifer,Natacha
s'alignèrent toutes les unes contre les autres le cul offert à Jacques.
Sa mission, donner un orgasme à chacune d'elle par n'importe quel moyen.
Jacques commença son dur labeur tout en prenant un plaisir immense, il
suçait, léchait, pelotait, sodomisait, caressait pénétrait et finit par
donner une jouissance à toutes ces filles qu'il appréciait.
Voilà, Jacques avait réussi et maintenant chacune des quinze filles vinrent
le remercier et à leur tour lui rendre le plaisir qu'elles avaient ressenti,
Après cela Aurélie s'approcha de Jacques et lui donna le coup de grâce,
elle pratiqua une fellation qu'elle seule était capable d'exercer, Jacques
ne pu résister et éjacula d'une dizaine de saccades, chaque fille vint
lécher quelques gouttes et le bonheur de cette expérience fut graver à
jamais dans la mémoire de chaque participant, Aurèlie embrassa Jacques
et ils se jurèrent de ne plus se quitter et de s'aimer toute la vie........
EMMANUEL THIERY (novembre 1999)
Noter ce texte :
CarolineSays
Même au niveau du fantasme c'est petit..
Anonyme
ces récits érotiques sont un pâle reflet du porno le plus débile. Les personnages féminins ont toute la profondeur et le réalisme psychologique de poupées gonflables. Pas étonnant que tant de mecs soient si nuls au pieu si c'est ça l'idée qu'ils se font de la façon de faire jouir une femme!Décourageant!
Anonyme
c'est divertissant mais denué de poesie ....
Anonyme
sans saveur
Anonyme
vraiment nul pas du tout excitant car trop peu de détail on a l'impression que l'histoire est blaqué surtout avec les pauvres descriptions même de scène de lesbianisme quel manque d'imagination