Nouvelles
Erotiques - I - Julie
par Emmanuel
Thiery
Elle
était assise au bar et sirotait un gin-fizz, elle semblait triste et désemparée,
qu'avait il bien pu lui arriver, a cette superbe femme au corps sculptural?
Elle était vraiment très belle;les yeux bleus ,une chevelure blonde lui
descendait jusqu'au bas du dos, elle avait un visage fin et doux, elle
ressemblait a ces jolies poupées dont tant de jeunes filles font collection!
Ses jambes fines et interminable étaient d'une blancheur extrême, elle
était vêtue de
noir;une minijupe très courte, des escarpins a hauts talons, un chemisier
noir un peu transparent laissant voir la rondeur et la tenue d'une belle
poitrine.
Julie ne méritait pas d'être dans cette état de tristesse et j' entrepris
alors de l'aborder.
Étape la plus scabreuse pour un homme aussi timide que moi!
Je ne savais pas comment faire mais je voulais a tout prix faire connaissance
avec cette jeune femme, en quelques minutes j'en était tombé amoureux!
Je pris mon courage a deux mains mais je n'arrivais pas a décoller de
ma chaise,j'etais comme tétanisé a l'idée de devoir m'approcher d'elle
et lui parler.
Je me demandais si elle allait accepter de boire un verre avec moi, je
me posais des tas de questions;avait elle un petit ami, pourquoi était
elle la, seule dans ce bar lugubre, comment allait elle prendre cette
incursion au cour de sa tristesse?
Il était vingt trois heures et le bar commençait a se remplir, il fallait
faire vite si je ne voulait pas qu'un autre homme ait la même idée que
moi!
Toujours est il qu'a vingt trois heures trente j'étais toujours assis
seul a ma table et que je n'avais encore rien tenté.
Il y'avait malgré cela un progrès dans ma tentative car j'avais au cours
des trente dernières minutes réussi a capter son regard,j'avais réussi
a garder son regard sur moi plusieurs secondes et il me sembla qu'elle
n'était pas indifférente, mon taux d'adrénaline montait et je devenais
si impatient de pouvoir enfin lui parler qu'il fallait absolument que
je tente quelque chose.
Je réussi tant bien que mal a me lever de ma chaise et a prendre un air
assuré, ce fut d'une difficulté énorme mais je fut assez fier de ma prestation
en arrivant au bar!
J'avais marché jusqu'au tabouret qui se trouvait a cote d'elle et pour
ne pas éveiller les soupçons de ma proie je commandais un autre whisky
très discrètement.
Maintenant que j'étais si près d'elle ,il fallait trouver un sujet de
conversation qui pouvait attirer sa curiosité, ce n'était pas gagné mais
le travail d'approche progressait peu a peu.
A ce stade je pu me rendre compte de l'incroyable beauté de cette créature
qui m'avait
fait faire des prouesses que je suis incapable d'effectuer d'ordinaire.
En effet, elle était vraiment très belle, je me rendit compte qu'elle
ne portait pas de soutient gorge et je pouvais entrevoir au creux de son
chemisier noir un morceaux de ses seins, je ne tenais plus en place et
comme poussé par une force venu d'on ne sait ou ,je lui lançais un"bonsoir"avec
une grande assurance et sans bégayer,j'en étais surpris mais je continuais
sans réfléchir par "que fait une jolie femme comme vous dans cet endroit
?"
J 'avais peur d'être trop entreprenant mais je devais a tout prix créer
un lien entre elle et moi.
Il ne me sembla pas que je la dérangeais, bien au contraire,j'eu l'impression
qu'elle appréciait ma présence.
La conversation enfin engagée, je commençais à prendre plus d'assurance,
de toutes façons c'était nécessaire car je voulais absolument me lier
a cette femme .
Je lui posais des tas de questions ,nous plaisantions ensemble et j'étais
heureux d'avoir pu captiver cette jolie jeune femme qui suscitait en moi
cet étrange état d'euphorie.
Après plusieurs heures de discussion, nous savions presque tout l'un sur
l'autre.
Julie était secrétaire dans une grande entreprise de cosmétique,
elle était mariée depuis cinq ans et son couple ne tenait plus la
route, elle s'ennuyait avec un mari toujours absent et négligeant, elle
se sentait seule et délaissée.
Elle n'avait pas d'enfant car elle souhaitait d'abord réussir sa vie professionnelle
sans s'encombrer .
Certes, elle aurait aimé avoir des enfants mais elle attendait de trouver
un pere, un vrai, un homme qui serait prévenant,romantique,attentionné,doux,sincère
et très câlin avec elle comme avec ses enfants.
Elle pensait que cela n'arriverait jamais, et sans vraiment chercher un
homme qui la comblerait, elle espérait chaque jour, enfin le rencontrer.
C'était un bon point pour moi,oui,moi le célibataire endurci avec ses
manies de vieux garçon !
J'allait peut être enfin réussir a donner un sens a ma vie avec une jeune
fille qui me plaisait énormément .
Je ne souhaitait pas savoir pourquoi elle avait cet air triste avant
que je l'aborde, et puis cela ne m'intéressait plus de le savoir car depuis
que nous discutions ensemble, elle n'avait plus cette moue qui lui donnait
un visage blême .
Je finissais par lui proposer de changer d'endroit ,et lui indiquais un
petit pub non loin de la ou nous étions.
Elle accepta sans aucune réticence, cela tournait dans ma tête, mais il
fallait rester calme et serein, pourtant je ne pouvais pas m'empecher
de penser au moment ou elle finirait par entrer chez moi.
Je n'avais rien rangé, mon appartement était en désordre et je ne pouvais
plus rien y faire, il n'était pas non plus question de la laisser partir
sans lui proposer de l'emmener chez moi.
Je préférais qu'elle voit le désordre de mon appartement plutôt que de
tout gâcher, elle me semblait si disponible qu'il ne fallait pas laisser
passer l'occasion!
Peut être que demain elle ne serait plus du même avis et même si ce n'était
probablement pas la femme de ma vie je devais tout faire pour que cette
soirée finisse du mieux possible.
Nous étions maintenant au pub et il n'y avait presque plus personne, quelques
étudiants buvant de la bière de qualité et le patron du lieu qui était
a une table avec ses amis.
Je proposais a Julie de boire une bonne petite bière blonde et qu'ensuite
je lui ferais visiter mon appartement.
J'étais très direct et j'avais peur de sa réaction, je ne pouvais pas
imaginer qu'elle soit aussi coopérative, ce fut un jeu d'enfant.
Je n'habitais pas très loin du pub, à quelques minutes de marche, cela
faisait du bien de marcher un peu dans l'obscurité et la fraîcheur de
la nuit.
Il était déjà deux heures du matin et nous arrivions à l'entrée de mon
immeuble,Julie était silencieuse, elle ne me paraissait ni heureuse ni
malheureuse, juste un peu nerveuse, pourtant cela ne devait pas être la
première fois qu'elle se trouvait dans une telle situation, par contre
pour moi, malgré mes quelques conquêtes très éphémères,c'etait la première
fois que je ramenais une fille de cette beauté a la maison!
J'habitais au troisième étage et je la laissais passer devant, au
fil de l'ascension, je regardais les jambes de Julie avec insistance et
mon imagination se mettait à fonctionner à deux cent pour cent !
Julie était si belle, si bien faite, je réalisais tout à coup que ce n'était
pas possible, je ne méritais pas une si belle femme, mais rien n'était
fait, elle pouvait rentrer chez moi et ressortir au bout de cinq minutes.
.Je ne pensais pas a ce cas de figure et continuais a monter derrière
Julie ,la femme la plus belle de toutes celles qui avaient pu entrer dans
ma vie.
Nous étions dans la dernière montée d'escalier et je scrutais toujours
les longues jambes vêtues de noir qui remontaient vers le trésor que je
posséderais peut être dans les moments qui suivraient notre entrée chez
moi.
Nous étions devant la porte et l'instant crucial approchait, je pris mes
clés et j'ouvris la porte,j'entrais le premier afin de vérifier l'état
du salon qui était malgré tout acceptable.
Julie n'eut aucune réaction particulière et entra dans mon humble demeure,
je pris son manteau de fourrure et lui tendis un siège, elle s'essaya
et croisa les jambes laissant apparaître le haut de ses cuisses qui étaient
découvertes, elle portait des bas avec des portes jarretelles blanc,c'etait
très beau.
J'étais troublé, mais pas assez pour ne pas continuer mon entreprise qui
avait débuté dans le bar au moment ou son regard avait croisé le mien,
je m'asseyais près d'elle et commençais a lui caresser la main, je savais
que si elle était ici ,chez moi assise a ma table les jambes croisées
de cette façon si aguichante c'est qu'il y'avait une suite logique.
Je n'avais donc plus aucune appréhension et continuais a la caresser
tendrement avec beaucoup de douceur, elle appréciait et me faisait comprendre
qu'il fallait continuer.
Sa peau était douce et fine,d'une blancheur intense et je dégustais petit
a petit ce délicieux cadeau de la nature.
J'entrepris de la devenir tout en continuant à la caresser,j'ôtas son
chemisier et ses seins apparurent dans toute leur splendeur, ils étaient
bien ronds, ils pointaient vers le ciel, elle faisait du quatre-vingt-quinze
C environ,c'etait d'une extrême beauté.
Je restais quelques instants ébahi par tant de grâce ,mais l'excitation
montait de plus en plus et mes mains courraient sur tout son corps, je
descendis jusqu'à ses pieds et lui ôtas ses escarpins, elle gémissait
sous la frénésie de mes caresses.
Je lui suçais les seins et je me retrouvais comme un nourrisson, elle
commença a me retirer mes vêtements et je me laissais faire tout en tétant
ses deux sphères une à une, elle enleva mon pantalon et caressa mon sexe
à travers le slip, une érection d'une dureté inhabituelle se manifesta
très vite . Je me transformais petit a petit en bête en rut.Elle mit sa
main dans mon slip et en sorti mon pieux d'un seul coup!
Elle le prit à pleine main et commença à exercer un va et vient très lent,
elle approcha son visage près de mon bas ventre et me lécha le bout du
gland, je n'en pouvais plus c'était vraiment trop bon.
Elle suçait mon sexe avec une ardeur et une passion telle que je croyais
être dans un rêve érotique.Jamais une femme ne m'avait sucé de cette façon.Elle
pompait mon gland, elle aspirait, elle léchait de bas en haut tout en
s'attardant de temps à autre sur mes couilles.C'etait l'extase totale.
J'avais moi aussi envie de lui donner du plaisir mais je n'arrivais pas
à bouger,j'etais tétanisé par cette femme à la bouche si experte et au
doigté d'une souplesse incroyable.
Petit à petit,j'entrepris ,malgré le travail acharné de ses doigts et
de sa bouche qui ne s'arrêtait plus, de lui caresser le clitoris.Ses bas
noirs me donnaient une excitation intense et j'avais beaucoup de mal à
résister à la jouissance qui s'approchait.
Je faisait mon maximum car il ne fallait certainement pas que je jouisse
tout de suite, il fallait d'abord que je la fasse jouir et j'allais y
mettre tout mon amour car Julie était si belle, si douce et tellement
experte que je ne devais pas lui faire faut bond.
Tout en me suçant,Julie m'introduisit un doigt dans l'anus, je fus très
surpris de ce genre de pratique mais je réalisai très vite que cela décuplait
mon plaisir, par conséquent je me laissais faire et je continuais à essayer
de la caresser tant bien que mal.Finalement,nous primes la position du
soixante-neuf et je me mis à lui lécher la chatte avec acharnement, elle
gémissait sous les délicats coups de langue que je lui donnais avec beaucoup
de douceur.Julie continuait à me sucer et je lui introduisais ma langue
au plus profond de son être, elle gémissait de plus en plus et avait cessé
de me pomper, tellement le plaisir montait en elle.
Je ne voulais pas que l'on en reste la et j'avais très envie de changer
de position,l'idée de la sodomiser et de lui donner un maximum de plaisir
me trottait dans la tête.De plus, une fille de cette trempe ne devait
pas rester sur sa faim et moi je devais faire durer le plaisir le plus
longtemps possible, je savais qu'une fille comme ça, ne s'accrocherait
pas à moi.Je fis une pause pour faire descendre un peu l'excitation, et
j'allais dans la cuisine chercher un lubrifiant quelconque afin de pratiquer
sur la jolie de demoiselle une sodomie de qualité.J'ouvris le réfrigérateur
et j'en sortis une plaquette de beurre, je savais qu'il était préférable
d'utiliser autre chose mais je n'avais rien sous la main et ce fut Al
Pacino qui me donna cette idée.......
Je revins dans le salon et je vis Julie à quatre pattes, les fesses en
l'air, prête à me recevoir, elle savait ce que je voulais et elle attendait
sagement le cul bien bombé et accueillant que je lui enfourne ma bite
assoiffée de sexe.
Je pris une noix de beurre et commença à lui lubrifier sa belle étoile
,elle eut un petit cri de douleur au moment ou j'introduisis un premier
doigt, mais peu à peu elle se mit à se dilater et à s'ouvrir de plus en
plus, je lui enfonçais un autre doigt et commençais à exercer un léger
aller retour entre ses fesses.Jamais cela n'avait été aussi bon, elle
hurlait de plaisir et me demandait d'aller plus vite, je pilonnais comme
un forcené et elle dirigeait, elle même, les mouvements de mon sexe au
fond de son anus qui était devenu surdimensionné.Je ne sentais presque
plus rien,j'avais l'impression de baratter une motte de beurre, mais pour
Julie c'était le summum, elle hurlait, elle criait de toute sa voix et
me demandait toujours d'aller de plus en plus vite.Je continuais donc
à lui défoncer le cul de toutes mes forces en lui donnant et en prenant
le plaisir que nous partagions avec une grande intensité.L'instant fatal
approchait et je ne souhaitais pas encore éjaculer, je voulais que cela
dure encore quelques instants ,Julie aussi, d'ailleurs, elle voulais changer
de position une nouvelle fois, en conséquence je me mis sur le dos et
elle vint s'empaler sur ma queue une nouvelle fois, je continuais à la
sodomiser mais ce n'était plus moi le maître, elle dirigeait et calculait
son plaisir sans penser au mien.Son cul était d'une chaleur très forte
et mon gland tellement sollicité que je commençais à avoir une petite
douleur, il fallait maintenant en terminer car le plaisir se transformait
en douleur,pourtant,Julie,elle,ne semblait pas avoir envie que cela s'arrête,
elle continuait a se lever ,se baisser,se lever ,se baisser avec une rapidité
et une précision digne d'une prostitué de luxe.Je n'en pouvais plus ,ce
n'était plus agréable et je voulais moi aussi lui montrer que je ne prenais
plus de plaisir à cet instant précis.D'un coup sec, je me retirais de
son anus complètement dilater et je la pris avec violence par les hanches,
elle ne dit rien et se laissa faire sans réticence, je la mis sur le dos
et la pénétrai naturellement au creux de son vagin brûlant ,elle se mit
à gémir de nouveau et le plaisir devenait plus doux, plus agréable, je
limai tranquillement car je savais que c'était l'un des derniers moments
ou nous partagions nos corps pour se donner du plaisir.Que la chaire de
Julie était bonne, je ne pouvais plus résister et elle non plus,j'attendais
que l'orgasme soit prêt à exploser pour nous deux et dès qu'elle commença
à jouir je sortis de son sexe ruisselant pour lui éjaculer dans la bouche,
elle sorti sa langue pour attraper les moindres gouttes de mon nectar
qui coulait à flots, je jouissais sur son visage en grognant .Julie était
toujours aussi belle et je ne pouvais pas imaginer, ne pas la revoir après
une soirée comme celle-ci, nous avions pris un plaisir immense et nous
avions envie de nous retrouver au plus vite pour recommencer......
EMMANUEL THIERY (PREMIER ESSAI)
NOUVELLES ÉROTIQUES
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Anonyme
dommage que le fond et la forme hein.. beaucoup trop plat..
Anonyme
banal, reste à la surface des choses; une photocopie de ce que l'on voit dans les films pornos
Anonyme
pas bon
Anonyme
Vulgaire. Très
vulgaire. Sans aucun intérêt.
La frustration n'est pas loin.
Anonyme
nul, apprendre a ecrire francais ne serait pas un luxe... problemes de vocabulaire... niveau mauvais S.A.S
Anonyme
a chier, mais vraiment .
Anonyme
tres médiocre Style lourd
Anonyme
c´est tres
conventionnel
sans poesie
assez excitant
ne merite pas de s´appeler erotique
plutot porno
Pas assez de sensualité. Des détails qui n'apportent rien. Un semblant de sentiment pour que ce texte ne figure pas dans la catégorie pornographie. Assez mauvais.